Ils ont été battus une deuxième fois par un Benfica (2-3), pas vraiment supérieur mais bien plus efficace.
Pourtant, le club au scapulaire avait revêtu ses habits de lumière pour cette rencontre : un stade plein et prêt à vibrer et des joueurs sur motivés. Leur début de match est d'ailleurs allé dans ce sens, avec de l'enthousiasme et des occasions à la clef. Une ouverture du score rapide aurait d'ailleurs pu changer radicalement le cours du match.
Mais ni Diabaté de la tête (4e), ni Saivet (8e), trop court sur un centre de Trémoulinas (8e), ni Maurice-Belay sur un bel enchaînement (12e), ne sont parvenus à tromper Artur. Privé de sa charnière centrale Garay (épaule) - Luisao (adducteurs), le Benfica a su patiemment faire le dos rond. Puis reprendre ses esprits, profitant du premier coup de mou girondin pour placer des contres précis. Salvio s'est ainsi présenté seul devant Carrasso, qui a détourné le tir de l'Argentin (20e). Le portier international a été en revanche beaucoup moins inspiré neuf minutes plus tard sur un corner où il a été devancé par Jardel (0-1, 29e). Un coup de bambou sur la tête des hommes de Francis Gillot, obligés de marquer à trois reprises pour rattraper cette ouverture du score. Courageux, les Girondins sont repartis vers l'avant. Mais encore une fois, ils ont pêché dans l'efficacité, carence récurrente de leur saison. Diabaté a frôlé le cadre (44e), Sertic n'a pas su utiliser sa bonne position (50e).
Dans le dernier quart d'heure, les Bordelais ont tenté leur va-tout, avec les entrées de Biyogo Poko, Ben Khalfallah et Sacko. Mais à chaque fois qu'ils ont cru relancer la partie, les Girondins ont cédé dans la foulée. Ainsi, lorsque Diabaté a trompé Artur (74e, 1-1), Cardozo, à peine entré en jeu, lui a répondu d'un tir en pivot (76e, 1-2). Lorsque Jardel a marqué contre son camp (90+1e, 2-2), le Paraguayen a encore trouvé les filets de Carrasso (90+3e, 2-3). Trop brouillons, les Bordelais quittent la Ligue Europa. Ils pourront désormais se tourner vers les quarts de finale de la Coupe de France. Une élimination dans cette compétition leur assurerait une fin de saison longue et morose.
C'était l'une des rares lueurs d'espoir dans la morne saison bordelaise, la voilà éteinte. Neuvièmes de Ligue 1, les Girondins ont été éliminés ce jeudi de la Ligue Europa, pourtant leur terrain d'expression préféré cette saison. C'était l'une des rares lueurs d'espoir dans la morne saison bordelaise, la voilà éteinte. Neuvièmes de Ligue 1, les Girondins ont été éliminés ce jeudi de la Ligue Europa, pourtant leur terrain d'expression préféré cette saison. Ils ont été battus une deuxième fois par un Benfica (2-3), pas vraiment supérieur mais bien plus efficace.
Pourtant, le club au scapulaire avait revêtu ses habits de lumière pour cette rencontre : un stade plein et prêt à vibrer et des joueurs sur motivés. Leur début de match est d'ailleurs allé dans ce sens, avec de l'enthousiasme et des occasions à la clef. Une ouverture du score rapide aurait d'ailleurs pu changer radicalement le cours du match.
Mais ni Diabaté de la tête (4e), ni Saivet (8e), trop court sur un centre de Trémoulinas (8e), ni Maurice-Belay sur un bel enchaînement (12e), ne sont parvenus à tromper Artur. Privé de sa charnière centrale Garay (épaule) - Luisao (adducteurs), le Benfica a su patiemment faire le dos rond. Puis reprendre ses esprits, profitant du premier coup de mou girondin pour placer des contres précis. Salvio s'est ainsi présenté seul devant Carrasso, qui a détourné le tir de l'Argentin (20e). Le portier international a été en revanche beaucoup moins inspiré neuf minutes plus tard sur un corner où il a été devancé par Jardel (0-1, 29e). Un coup de bambou sur la tête des hommes de Francis Gillot, obligés de marquer à trois reprises pour rattraper cette ouverture du score. Courageux, les Girondins sont repartis vers l'avant. Mais encore une fois, ils ont pêché dans l'efficacité, carence récurrente de leur saison. Diabaté a frôlé le cadre (44e), Sertic n'a pas su utiliser sa bonne position (50e).
Dans le dernier quart d'heure, les Bordelais ont tenté leur va-tout, avec les entrées de Biyogo Poko, Ben Khalfallah et Sacko. Mais à chaque fois qu'ils ont cru relancer la partie, les Girondins ont cédé dans la foulée. Ainsi, lorsque Diabaté a trompé Artur (74e, 1-1), Cardozo, à peine entré en jeu, lui a répondu d'un tir en pivot (76e, 1-2). Lorsque Jardel a marqué contre son camp (90+1e, 2-2), le Paraguayen a encore trouvé les filets de Carrasso (90+3e, 2-3). Trop brouillons, les Bordelais quittent la Ligue Europa. Ils pourront désormais se tourner vers les quarts de finale de la Coupe de France. Une élimination dans cette compétition leur assurerait une fin de saison longue et morose.
Pourtant, le club au scapulaire avait revêtu ses habits de lumière pour cette rencontre : un stade plein et prêt à vibrer et des joueurs sur motivés. Leur début de match est d'ailleurs allé dans ce sens, avec de l'enthousiasme et des occasions à la clef. Une ouverture du score rapide aurait d'ailleurs pu changer radicalement le cours du match.
Mais ni Diabaté de la tête (4e), ni Saivet (8e), trop court sur un centre de Trémoulinas (8e), ni Maurice-Belay sur un bel enchaînement (12e), ne sont parvenus à tromper Artur. Privé de sa charnière centrale Garay (épaule) - Luisao (adducteurs), le Benfica a su patiemment faire le dos rond. Puis reprendre ses esprits, profitant du premier coup de mou girondin pour placer des contres précis. Salvio s'est ainsi présenté seul devant Carrasso, qui a détourné le tir de l'Argentin (20e). Le portier international a été en revanche beaucoup moins inspiré neuf minutes plus tard sur un corner où il a été devancé par Jardel (0-1, 29e). Un coup de bambou sur la tête des hommes de Francis Gillot, obligés de marquer à trois reprises pour rattraper cette ouverture du score. Courageux, les Girondins sont repartis vers l'avant. Mais encore une fois, ils ont pêché dans l'efficacité, carence récurrente de leur saison. Diabaté a frôlé le cadre (44e), Sertic n'a pas su utiliser sa bonne position (50e).
Dans le dernier quart d'heure, les Bordelais ont tenté leur va-tout, avec les entrées de Biyogo Poko, Ben Khalfallah et Sacko. Mais à chaque fois qu'ils ont cru relancer la partie, les Girondins ont cédé dans la foulée. Ainsi, lorsque Diabaté a trompé Artur (74e, 1-1), Cardozo, à peine entré en jeu, lui a répondu d'un tir en pivot (76e, 1-2). Lorsque Jardel a marqué contre son camp (90+1e, 2-2), le Paraguayen a encore trouvé les filets de Carrasso (90+3e, 2-3). Trop brouillons, les Bordelais quittent la Ligue Europa. Ils pourront désormais se tourner vers les quarts de finale de la Coupe de France. Une élimination dans cette compétition leur assurerait une fin de saison longue et morose.
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