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Vierge de tout titre sur la scène européenne depuis 2001, le foot germanique redore son blason cette année avec deux clubs en finale de la C1.

Ça y est ! La phrase de Gary Lineker revient sur le devant de la scène. À l'issue de la Coupe du monde 1990 remportée par la RFA, l'attaquant anglais avait déclaré : "Le foot est un sport simple où onze types courent sur une pelouse pendant 90 minutes et à la fin, ce sont les Allemands qui gagnent !" Un constat entré dans l'inconscient collectif, mais qui n'était plus du tout à l'ordre du jour depuis une bonne dizaine d'années.

Et avec la finale 100 % allemande de la Ligue des champions entre le Bayern Munich et le Borussia Dortmund qui se profile le 25 mai prochain à Wembley, le foot germanique va enfin dépoussiérer un palmarès vierge de tout trophée depuis 2001, année qui avait vu les Bavarois l'emporter face à Valence. Avec Dortmund et le Bayern en tête d'affiche, c'est l'ensemble du football allemand dans toute sa diversité qui en sort grandi.

Les deux finalistes de la C1 incarnent en effet deux modèles presque diamétralement opposés. Alors, évidemment, les bases du ballon rond outre-Rhin restent définitivement les mêmes : rigueur, engagement total, puissance physique, fluidité du jeu. Pour autant, le club de la Ruhr et la formation bavaroise n'évoluent pas dans les mêmes catégories. En 2005, Dortmund frôle la banqueroute avec une dette avoisinant les 150 millions d'euros et est même menacée de rétrogradation en troisième division, chez les amateurs.

Échecs sportifs, contrecoup du titre de 2002 et gestion catastrophique des comptes du BVB conduisent les Jaune et noir à vendre 75 % le stade historique, le Westfalenstadion.

Ligue des champions : l'Allemagne se remet à gagner !



Vierge de tout titre sur la scène européenne depuis 2001, le foot germanique redore son blason cette année avec deux clubs en finale de la C1.

Ça y est ! La phrase de Gary Lineker revient sur le devant de la scène. À l'issue de la Coupe du monde 1990 remportée par la RFA, l'attaquant anglais avait déclaré : "Le foot est un sport simple où onze types courent sur une pelouse pendant 90 minutes et à la fin, ce sont les Allemands qui gagnent !" Un constat entré dans l'inconscient collectif, mais qui n'était plus du tout à l'ordre du jour depuis une bonne dizaine d'années.

Et avec la finale 100 % allemande de la Ligue des champions entre le Bayern Munich et le Borussia Dortmund qui se profile le 25 mai prochain à Wembley, le foot germanique va enfin dépoussiérer un palmarès vierge de tout trophée depuis 2001, année qui avait vu les Bavarois l'emporter face à Valence. Avec Dortmund et le Bayern en tête d'affiche, c'est l'ensemble du football allemand dans toute sa diversité qui en sort grandi.

Les deux finalistes de la C1 incarnent en effet deux modèles presque diamétralement opposés. Alors, évidemment, les bases du ballon rond outre-Rhin restent définitivement les mêmes : rigueur, engagement total, puissance physique, fluidité du jeu. Pour autant, le club de la Ruhr et la formation bavaroise n'évoluent pas dans les mêmes catégories. En 2005, Dortmund frôle la banqueroute avec une dette avoisinant les 150 millions d'euros et est même menacée de rétrogradation en troisième division, chez les amateurs.

Échecs sportifs, contrecoup du titre de 2002 et gestion catastrophique des comptes du BVB conduisent les Jaune et noir à vendre 75 % le stade historique, le Westfalenstadion.

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