«Monaco se défend, c'est son intérêt. Je faisais partie des gens qui prônaient les discussions avant la prise de décision à la Ligue. On part après dans des choses extrêmement complexes. Je pense qu'il y avait mieux à faire avec des discussions. Là, le Conseil d'Etat peut trancher de manière très nette alors que par la décision, on aurait pu aboutir à des choses plus réalistes» , a-t-il regretté.
La semaine passée, l'ASM a en effet déposé deux recours auprès du Conseil d'Etat pour essayer de faire annuler la nouvelle règle édictée par la Ligue. Aulas a par ailleurs évoqué une solution alternative à laquelle il avait songé. «Ma proposition, c'était de demander à ce que quand on n'a pas son siège social en France, on s'engage à prendre un minimum de joueurs français qui eux, fiscalement, ont les mêmes contraintes, et limiter le nombre de joueurs étrangers qui ne payent pas d'impôt» , a-t-il expliqué après le match nul (1-1) à Nice dimanche.
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