Les photos de sa petite fille Aïda sont en fond d’écran de ses deux
téléphones et Mamadou Sakho ne peut s’empêcher de les regarder. « C’est
dingue comment ça change la vie », s’émerveille-t-il. Sa paternité lui
permet de poser un regard plus détaché sur sa carrière : « Le Sakho d’il
y a quelques années a disparu. Maintenant, je sais où je veux aller. Et
je sais comment m’y prendre. »
Que représente l’équipe de France aujourd’hui?
MAMADOU SAKHO. Une très grande fierté. C’est le summum. Quand on dit Bleus, on pense Zidane, Makelele, Thuram ou Blanc. Ce sera toujours quelque chose de très fort. J’ai conscience de représenter la nation. Et, maintenant, je ne suis plus le petit jeune. Il y a du talent qui arrive derrière, avec Varane, Pogba, Grenier ou Lacazette. Il y a de la force partout.
A quoi sert cette tournée en Amérique du Sud?
C’est dépaysant de découvrir une autre culture et un autre football. On sent une passion vraiment très forte pour le foot. Forcément, je suis impressionné par l’idée de jouer au Brésil, qui est le vrai pays du foot.
Avez-vous parlé de ce match avec Thiago Silva et Lucas?
Oui, rapidement. Mais, pour eux, c’est juste un match de préparation avant la Coupe des Confédérations. On ne s’est pas vraiment chambré sur ça. C’était juste taquin.
Quel rapport avez-vous avec Thiago Silva?
J’ai compris qu’il pouvait m’aider et je ne suis pas du tout gêné d’aller discuter avec lui. Trois ou quatre fois, je suis allé le voir. J’ai pris Maxwell comme interprète et je lui ai demandé des conseils. Notamment sur des actions de jeu du genre « sur un contre avec deux défenseurs face à trois attaquants, à quel moment faut-il intervenir? Qui doit y aller en premier? » Il m’a dit que c’était la bonne façon d’agir, il avait fait pareil à Milan avec Nesta et Maldini. Franchement, ne pas utiliser l’expérience du capitaine du Brésil alors qu’il est à côté de toi, ce serait nul (sourire).
Que représente l’équipe de France aujourd’hui?
MAMADOU SAKHO. Une très grande fierté. C’est le summum. Quand on dit Bleus, on pense Zidane, Makelele, Thuram ou Blanc. Ce sera toujours quelque chose de très fort. J’ai conscience de représenter la nation. Et, maintenant, je ne suis plus le petit jeune. Il y a du talent qui arrive derrière, avec Varane, Pogba, Grenier ou Lacazette. Il y a de la force partout.
A quoi sert cette tournée en Amérique du Sud?
C’est dépaysant de découvrir une autre culture et un autre football. On sent une passion vraiment très forte pour le foot. Forcément, je suis impressionné par l’idée de jouer au Brésil, qui est le vrai pays du foot.
Avez-vous parlé de ce match avec Thiago Silva et Lucas?
Oui, rapidement. Mais, pour eux, c’est juste un match de préparation avant la Coupe des Confédérations. On ne s’est pas vraiment chambré sur ça. C’était juste taquin.
Quel rapport avez-vous avec Thiago Silva?
J’ai compris qu’il pouvait m’aider et je ne suis pas du tout gêné d’aller discuter avec lui. Trois ou quatre fois, je suis allé le voir. J’ai pris Maxwell comme interprète et je lui ai demandé des conseils. Notamment sur des actions de jeu du genre « sur un contre avec deux défenseurs face à trois attaquants, à quel moment faut-il intervenir? Qui doit y aller en premier? » Il m’a dit que c’était la bonne façon d’agir, il avait fait pareil à Milan avec Nesta et Maldini. Franchement, ne pas utiliser l’expérience du capitaine du Brésil alors qu’il est à côté de toi, ce serait nul (sourire).
MAMADOU SAKHO : « J’ai su combattre ma frustration »
Que représente l’équipe de France aujourd’hui?
MAMADOU SAKHO. Une très grande fierté. C’est le summum. Quand on dit Bleus, on pense Zidane, Makelele, Thuram ou Blanc. Ce sera toujours quelque chose de très fort. J’ai conscience de représenter la nation. Et, maintenant, je ne suis plus le petit jeune. Il y a du talent qui arrive derrière, avec Varane, Pogba, Grenier ou Lacazette. Il y a de la force partout.
A quoi sert cette tournée en Amérique du Sud?
C’est dépaysant de découvrir une autre culture et un autre football. On sent une passion vraiment très forte pour le foot. Forcément, je suis impressionné par l’idée de jouer au Brésil, qui est le vrai pays du foot.
Avez-vous parlé de ce match avec Thiago Silva et Lucas?
Oui, rapidement. Mais, pour eux, c’est juste un match de préparation avant la Coupe des Confédérations. On ne s’est pas vraiment chambré sur ça. C’était juste taquin.
Quel rapport avez-vous avec Thiago Silva?
J’ai compris qu’il pouvait m’aider et je ne suis pas du tout gêné d’aller discuter avec lui. Trois ou quatre fois, je suis allé le voir. J’ai pris Maxwell comme interprète et je lui ai demandé des conseils. Notamment sur des actions de jeu du genre « sur un contre avec deux défenseurs face à trois attaquants, à quel moment faut-il intervenir? Qui doit y aller en premier? » Il m’a dit que c’était la bonne façon d’agir, il avait fait pareil à Milan avec Nesta et Maldini. Franchement, ne pas utiliser l’expérience du capitaine du Brésil alors qu’il est à côté de toi, ce serait nul (sourire).
Aucun commentaire