Bordeaux n'a pas dérogé à la règle : le Stade de la Luz est bel et bien une forteresse imprenable pour les clubs français. Malgré une envie de bien faire manifeste, les Girondins sont repartis de Lisbonne avec une courte défaite (0-1) dans leurs valises.
Et le sentiment, certainement, qu'il y avait mieux à faire face aux joueurs de Jorge Jesus. Dans une configuration inédite au coup d'envoi avec Sané en défense centrale, Rolan en pointe et Faubert au poste de milieu droit, les Girondins ont fait mieux que de se défendre.
Mais comme trop souvent, il leur a manqué une grosse pincée de réalisme pour que les statistiques ne penchent en leur faveur. Après ce 8e de finale aller, ils ne possèdent plus que 41 % de chances d'accéder aux quarts.
La qualification du Real Madrid aux dépens de Manchester United en Ligue des champions l'a montré : les chiffres ne sont pas une science exacte. Mais s'il se montre aussi inefficace que jeudi soir, le dernier représentant français en Ligue Europa aura bien du mal à remonter son handicap. Que ce soit par Obraniak (15e, 44e), Plasil (65e) ou encore Ben Khalfallah (89e), les Bordelais sont parvenus à inquiéter les Lisboètes, mais ils sont à chaque fois tombés sur un très bon Artur. A l'inverse, Benfica a réussi à ouvrir le score sur sa deuxième occasion franche. Après avoir manqué le cadre une première fois (14e), Rodrigo a déclenché une frappe qui a heurté la transversale de Carrasso, avant d'entrer dans le but avec l'aide involontaire du portier bordelais (21e).
Malheureux, l'international français s'est rattrapé dans la foulée devant Cardozo (23e).Si les Girondins se sont montrés bien plus séduisants qu'en Championnat, où ils restent sur quatre défaites d'affilée, le constat reste identique. Depuis le départ de Yoann Gouffran à Newcastle cet hiver, il leur manque un buteur capable de traduire leurs intentions. Remis de son entorse à la cheville droite et titularisé à la pointe de l'attaque bordelaise, Diego Rolan n'a jamais réussi à peser.
Pas plus que Bellion, qui l'a remplacé à la 66e. Un motif d'espoir tout de même, avant le match retour le 14 mars prochain à Chaban-Delmas : les Girondins n'ont plus perdu à domicile sur la scène européenne depuis treize matches et la visite de l'AS Roma (1-3) le 2 octobre 2008. Dans une semaine, ne pas perdre ne suffira cependant pas. Il faudra gagner. Et marquer.
Et le sentiment, certainement, qu'il y avait mieux à faire face aux joueurs de Jorge Jesus. Dans une configuration inédite au coup d'envoi avec Sané en défense centrale, Rolan en pointe et Faubert au poste de milieu droit, les Girondins ont fait mieux que de se défendre.
Mais comme trop souvent, il leur a manqué une grosse pincée de réalisme pour que les statistiques ne penchent en leur faveur. Après ce 8e de finale aller, ils ne possèdent plus que 41 % de chances d'accéder aux quarts.
La qualification du Real Madrid aux dépens de Manchester United en Ligue des champions l'a montré : les chiffres ne sont pas une science exacte. Mais s'il se montre aussi inefficace que jeudi soir, le dernier représentant français en Ligue Europa aura bien du mal à remonter son handicap. Que ce soit par Obraniak (15e, 44e), Plasil (65e) ou encore Ben Khalfallah (89e), les Bordelais sont parvenus à inquiéter les Lisboètes, mais ils sont à chaque fois tombés sur un très bon Artur. A l'inverse, Benfica a réussi à ouvrir le score sur sa deuxième occasion franche. Après avoir manqué le cadre une première fois (14e), Rodrigo a déclenché une frappe qui a heurté la transversale de Carrasso, avant d'entrer dans le but avec l'aide involontaire du portier bordelais (21e).
Malheureux, l'international français s'est rattrapé dans la foulée devant Cardozo (23e).Si les Girondins se sont montrés bien plus séduisants qu'en Championnat, où ils restent sur quatre défaites d'affilée, le constat reste identique. Depuis le départ de Yoann Gouffran à Newcastle cet hiver, il leur manque un buteur capable de traduire leurs intentions. Remis de son entorse à la cheville droite et titularisé à la pointe de l'attaque bordelaise, Diego Rolan n'a jamais réussi à peser.
Pas plus que Bellion, qui l'a remplacé à la 66e. Un motif d'espoir tout de même, avant le match retour le 14 mars prochain à Chaban-Delmas : les Girondins n'ont plus perdu à domicile sur la scène européenne depuis treize matches et la visite de l'AS Roma (1-3) le 2 octobre 2008. Dans une semaine, ne pas perdre ne suffira cependant pas. Il faudra gagner. Et marquer.
Bordeaux a perdu une bataille...
Et le sentiment, certainement, qu'il y avait mieux à faire face aux joueurs de Jorge Jesus. Dans une configuration inédite au coup d'envoi avec Sané en défense centrale, Rolan en pointe et Faubert au poste de milieu droit, les Girondins ont fait mieux que de se défendre.
Mais comme trop souvent, il leur a manqué une grosse pincée de réalisme pour que les statistiques ne penchent en leur faveur. Après ce 8e de finale aller, ils ne possèdent plus que 41 % de chances d'accéder aux quarts.
La qualification du Real Madrid aux dépens de Manchester United en Ligue des champions l'a montré : les chiffres ne sont pas une science exacte. Mais s'il se montre aussi inefficace que jeudi soir, le dernier représentant français en Ligue Europa aura bien du mal à remonter son handicap. Que ce soit par Obraniak (15e, 44e), Plasil (65e) ou encore Ben Khalfallah (89e), les Bordelais sont parvenus à inquiéter les Lisboètes, mais ils sont à chaque fois tombés sur un très bon Artur. A l'inverse, Benfica a réussi à ouvrir le score sur sa deuxième occasion franche. Après avoir manqué le cadre une première fois (14e), Rodrigo a déclenché une frappe qui a heurté la transversale de Carrasso, avant d'entrer dans le but avec l'aide involontaire du portier bordelais (21e).
Malheureux, l'international français s'est rattrapé dans la foulée devant Cardozo (23e).Si les Girondins se sont montrés bien plus séduisants qu'en Championnat, où ils restent sur quatre défaites d'affilée, le constat reste identique. Depuis le départ de Yoann Gouffran à Newcastle cet hiver, il leur manque un buteur capable de traduire leurs intentions. Remis de son entorse à la cheville droite et titularisé à la pointe de l'attaque bordelaise, Diego Rolan n'a jamais réussi à peser.
Pas plus que Bellion, qui l'a remplacé à la 66e. Un motif d'espoir tout de même, avant le match retour le 14 mars prochain à Chaban-Delmas : les Girondins n'ont plus perdu à domicile sur la scène européenne depuis treize matches et la visite de l'AS Roma (1-3) le 2 octobre 2008. Dans une semaine, ne pas perdre ne suffira cependant pas. Il faudra gagner. Et marquer.
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