Et les dirigeants parisiens l’ont bien compris puisqu’ils ont fait du Brésilien leur cible prioritaire en prévision du futur mercato estival, selon L’Equipe.
Lié au FC Barcelone jusqu’en 2018, l’attaquant de 24 ans n’a toujours pas prolongé son contrat avec le club catalan, un dossier qui traîne en longueur depuis déjà plusieurs mois et peine à se décanter malgré les performances époustouflantes du joueur, auteur de 21 buts en Liga cette saison.
Mais qu’est-ce qui pourrait bien pousser Neymar à quitter le FC Barcelone, la meilleure équipe du monde, et à se séparer de Messi et Suarez, ses fameux compères de la MSN ? La force financière du Paris Saint-Germain tout d’abord.
D’après L’Equipe, le PSG serait prêt à verser un salaire annuel de 20 millions d’euros quand le Barça lui en donne actuellement six de moins. La clause libératoire de l’international auriverde (70 sélections) estimée à 193 millions d’euros n’est également vraiment pas de nature à effrayer le club de la capitale et le transfert pourrait également être amorti sur la durée du contrat proposé par Paris. "Je ne crois pas que ce soit un problème insurmontable pour le PSG", révèle Wagner Ribeiro, l’agent de Neymar, dans L’Equipe.
Et ce même Ribeiro ne ferme vraiment pas la porte à un possible transfert de son protégé, très attiré par la ville de Paris. "Il se sent bien à Barcelone, il est aimé là-bas et il joue dans la meilleure équipe du monde. Mais la perspective d’habiter dans une ville comme Paris, et de jouer dans un club comme le PSG, c’est aussi un rêve pour tous les joueurs", lâche Ribeiro.
Ça veut dire que si le PSG montre de l’intérêt pour Neymar, on pourra discuter. Un contrat peut aussi être résilié, à condition de payer la clause libératoire. Neymar adore Paris, c’est une ville magnifique. Lucas nous met d’ailleurs la pression pour que Neymar le rejoigne. Il n’arrête pas de lui dire : "Viens jouer à Paris, on va s’éclater." Avec l'importante colonie brésilienne présente à Paris (Thiago Silva, Marquinhos, David Luiz, Lucas, Maxwell), Neymar serait comme chez lui. Ou presque.
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